Le mariage du yoga égyptien et du yoga indien

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La technique et la philosophie de ces deux approches ont pour dénominateur commun la recherche de l'unification de l'être humain dans ses aspects physique, psychique, mental et spirituel, grâce à la relaxation, aux postures, à l’ancrage dans l’instant présent, à la circulation des énergies, au discernement de l’étudiant, à la méditation, etc.

Tant le yoga égyptien que le yoga indien sont accessibles à tout être humain. L’expérience vécue et l’application à la vie de tous les jours en sont des corollaires essentiels.

Les moyens mis en œuvre pour y parvenir sont la discipline, la persévérance, le travail dans la joie et la recherche de l’accomplissement à l’intérieur de soi.

Le corps physique constitue l’instrument de réalisation. Par un corps sain, peuvent se mettre en place des projets plus globaux : respect d'autrui, recherche de la paix et de l’harmonie, vue d'ensemble de la réalité, dépassement de la dualité entre les conditions physiques et matérielles et aspiration à les dépasser, afin que l’âme individuelle se reflète dans l’âme universelle, le microcosme dans le macrocosme.

Les deux traditions égyptienne et indienne sont « cousines », mais suivent un développement parallèle. Selon Babacar Khane, les signes visibles de l’existence du yoga apparaissent à peu près en même temps en Égypte et en Inde. Ce qui démontre que les différentes pratiques spirituelles sont liées et constituent un facteur d’unité pour l’humanité entière.

Le yoga indien, bien connu sous nos latitudes, comporte les postures du lotus, du cobra, du pont, de la chandelle, de la charrue… et de l’Arbre, présenté ici par Babacar Khane.

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Le yoga égyptien, ou yoga pharaonique ou yoga de la verticalité, sous l’impulsion de Babacar Khane, commence à nouveau à être pratiqué.  Il introduit des positions comme les Ailes de l’aigle, le Cube, les Millions d’années… et le Guerrier.

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Résultats spécifiques
  • plus de souplesse
  • respiration plus profonde, plus lente
  • meilleur contrôle musculaire
  • harmonisation du système nerveux
  • amélioration de la concentration
  • préparation à la méditation
  • paix, clarté du mental, non-jugement, contentement intérieur…
Résultats spécifiques
  • redressement du dos
  • positionnement des épaules
  • musculation longiligne des bras
  • ouverture de la cage thoracique et des poumons
  • dynamisme et vitalité
  • coordination des mouvements
  • équilibre
  • développement de la mémoire
  • être ici et maintenant
  • précision et rigueur.
Depuis au moins 3'000 ans avant notre ère, la pratique du yoga indien a été transmise de maître à élève.
Environ 2'000 ans avant J. C., Patanjali produit une synthèse des différentes philosophies yogiques.
Et au début du 20e siècle le yoga apparaît en Occident.
Babacar Khane découvre dans les temples et sur les bas-reliefs des asanas semblables à celles pratiquées en Inde, mais aussi d'autres postures de yoga axées sur la verticalité. 
Il remet le yoga pharaonique au goût du jour et l'inclut dans son enseignement, en complément du yoga de l'Inde. 
Avec son épouse, Geneviève Khane, Docteur es Lettres, diplômée en égyptologie de l'Université de Montpellier, ils publient
Le Yoga des Pharaons et le Yoga de la verticalité, entre autres.